Si les jours raccourcissent irrémédiablement en cette saison automnale, l’obscurité se fait plus présente lors des trajets en vélo. Elle ne doit cependant pas être un obstacle à la pratique du vélo. Avec le bon équipement et un bon éclairage, on peut tout à fait continuer à vélotaffer par exemple même avec des trajets nocturnes, en plein hiver. Dans ce cadre, nous avons fait tester l’éclairage vélo Reelight CIO à 4 cyclistes. Retour sur leurs impressions.

Test de l’éclairage Reelight CIO : déballage et impression globale

Les premières impressions concernant le produit sont bonnes. « Un emballage, beau, sans superflu » ou encore « un packaging très compact » sont les commentaires qui accompagnent la découverte de la boîte contenant les feux vélo Reelight CIO. Une fois le produit déballé, en soulevant le couvercle aimanté de la boîte, on trouve «  les deux feux derrière le film plastique et un schéma au dos du couvercle représentant un vélo de route avec les éclairages montés dessus. Il y a juste à détacher les feux de leur support ». Donc encore une fois, tout est à la fois bien présenté et simple.

De plus, tout le matériel de montage est fourni : « On retrouve la notice (…), le matériel nécessaire au montage est fourni avec une petite clé Allen, deux aimants qui viendront sur la roue et la bague de positionnement. » Inutile donc de fouiller dans votre caisse à outils à la recherche de la bonne clé, Reelight a pensé à tout et vous fournit les accessoires de montage nécessaires !

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Reelight CIO : une installation durable sur le vélo

Une fois tout déballé, place au montage des feux Reelight CIO. Diverses fortunes ont été rencontré ici par nos testeurs. Les deux premiers nous précisent « Le montage est très simple en 10 minutes c’est fait ! » ou encore « J’ai effectué le montage en 5 minutes. Je me suis aperçu qu’il pouvait être nécessaire de réajuster les feux après quelques jours d’utilisation du fait des vibrations. »

D’autres au contraire nous disent avoir rencontré plus de difficultés. « Ce fut très difficile pour le feu avant car le diamètre du tube était gros par rapport au petit câble de maintien du feu mais avec insistance j’ai pu l’installer. Ensuite, ce fut un échec pour le feu arrière. Impossible de comprendre comment ajuster le câble du feu au diamètre du tube, qui cette fois-ci est plus fin. » Après quelques recherches sur Internet qui aide à mieux comprendre la notice, tout est rentré dans l’ordre. Le feu arrière a finalement pu trouver sa place mais au bout de 20 à 30 minutes. Temps rallongé principalement dû à la compréhension de la notice plus qu’à l’installation en elle-même.

Enfin, concernant les compatibilités, une testeuse nous précise que l’éclairage vélo Reelight CIO « ne convient pas pour un vélo équipé de sacoches. » En effet, le feu arrière se place sur le hauban et sera donc complètement masqué si vous possédez des sacoches doubles sur votre vélo. Autre compatibilité annoncée, « la notice précise que les feux ne sont compatibles qu’avec les rayons ronds. Je les ai tout de même montés sur des rayons plats. Pas de suspense inutile, ça fonctionne. »

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L’éclairage Reelight CIO, des feux vélo pour être en sécurité en ville

Une lumière vélo qui fonctionne seule et sans pile une fois installée

Le fonctionnement des feux Reelight CIO est assez simple et fiable. « Les feux s’allument automatiquement lorsque l’on roule grâce au champ magnétique créé par l’aimant fixé sur votre rayon et continuent de clignoter jusqu’à 2 min après l’arrêt. » Cette fonctionnalité permettant aux feux de rester allumée est également saluée par un autre testeur. « Dès les premiers tours de roue, les feux clignotent. Ils disposent d’une petite batterie qui permet aux feux de continuer à clignoter à l’arrêt pendant une ou deux minutes. Ce qui permet de rester visible malgré un arrêt au feu rouge et à un stop. »

Conclusion du test des feux vélo CIO par Reelight

En conclusion, les testeurs nous donnent leurs retours, à la fois positifs et négatifs. Ainsi que les possibilités d’évolution du produit après utilisation. Notamment l’un d’entre eux qui se sert de l’éclairage vélo Reelight CIO dans le cadre du vélotaf. Il trouverait intéressant d’avoir « plusieurs modes clignotants ou des flashs moins rapides. »

Globalement, l’avantage non négligeable qui permet au CIO de Reelight de se démarquer est sa simplicité d’utilisation. « Le gros plus de ces lumières, c’est qu’elles fonctionnent sans piles, donc pas de soucis de piles mortes et vélo sans éclairage. » Un autre nous dit « Clairement une fois installé, tout est simple ! Il n’y a plus rien à faire et on a un éclairage permanent. »

Pistes d’amélioration pour optimiser les performances du Reelight CIO

Quelques points à nuancer sont également ressortis de l’ensemble de ces tests. Le premier est la puissance limitée des feux Reelight. A savoir que ces feux sont avant tout un complément à un éclairage principal comme nous le précise un dernier testeur : « Il faut comprendre que ces feux ne sont pas faits pour éclairer mais pour permettre aux cyclistes d’être vus. On ne peut pas se reposer sur ces feux pour éclairer la route dans le noir. Si votre trajet comprend une section non-éclairée, vous aurez besoin d’un éclairage plus puissant. » Pour se servir de ces feux comme éclairage principal, il recommande « l’utilisation de ces feux uniquement aux cyclistes roulant en centre-ville. »

Une remarque quant à la position des lumières qui « se fixent sur un côté de la fourche avant et arrière. Elles ne sont pas centrées sur le vélo. Elles ne sont donc pas visibles de la même façon si une voiture arrive sur ma gauche ou sur ma droite. »

Dernière remarque mais qui va de pair avec le fonctionnement même de ces feux : « Il faut pédaler pour être vu, si je m’arrête longtemps, les lumières vont s’éteindre. »

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