New-York, Londres, ou encore Montréal… Dans toutes ces grandes villes, nombreux sont les coursiers qui travaillent sur deux-roues pour livrer divers colis. Un métier qui demande de la ressource physique et surtout un bon équipement.
Dès les années 70, les coursiers à vélo, appelés aussi cyclomessagers, ont commencé à livrer des colis à travers les villes anglo-saxonnes. Depuis le phénomène a gagné le monde. De Londres à New-York en passant par Berlin, Tokyo et bien sûr Paris, un bon petit nombre de sociétés fondées sur ce concept a vu le jour à l’instar d’Urban Cycle ou ParisVélopostale. Toutes reposent sur des coursiers en bonne condition physique mais surtout bien équipés.
Des roues flip flop pour plus de rapidité
Le métier de coursier à vélo présente de nombreux avantages : pas besoin d’acheter de voiture ni de payer d’essence et encore moins de chercher un stationnement pour se garer, délivrer un service propre pour l’environnement. Par dessus tout, cela permet de circuler facilement sans faire face aux embouteillages pour garantir une livraison ultrarapide !
En moyenne, le coursier parcourt chaque jour 100 km en moyenne sur 25 à 30 courses. En général, plus il fait de courses, plus il sera payé. Pour cela, mieux vaut préférer un vélo fixie c’est-à-dire une monture réduite au strict minimum et des roues flip flop très fines. Cela lui permet de gagner en légèreté et donc en rapidité.
Le sac et la remorque pour transporter les colis
Afin d’emporter les différents colis relatifs à chaque course, l’élément indispensable du coursier est un sac spécialement adapté au transport. C’est-à-dire un sac doté d’une grande capacité d’accueil et qui préserve à la fois les plis des coups ou de la pluie. Idéal pour emmener les petits colis, le sac est facilement transportable par le coursier qui n’a plus qu’à le fixer sur son dos avant de partir.
Le coursier peut aussi être amené à transporter des colis de plus de 10 kgs. Pour l’aider dans sa tâche, il a la possibilité d’attacher une remorque Y-Frame. Très adaptable, elle s’accroche derrière le vélo et peut soulever jusqu’à 90 kgs. Déplacer son lave-linge semble si facile !
Le support smartphone pour trouver son chemin
Lorsqu’on est coursier à vélo, les destinations changent constamment et il faut s’accommoder rapidement. Cela suppose donc de bien connaître la ville et ses raccourcis ou tout simplement d’avoir un bon GPS.
Dans le second cas, le cyclomessager pourra utiliser son smartphone pour s’alléger. Grâce au support Finn, il pourra l’accrocher et le décrocher aisément de son guidon de vélo entre chaque course. Son orientation sera facilitée et il pourra se faufiler plus rapidement à travers les rues de la ville.
La fixation pour garder son antivol pas loin
Bien qu’il n’y ait pas grand chose à dérober sur un vélo fixie, mieux vaut tout de même le sécuriser lors de chaque livraison.
Avec la fixation à la ceinture, le coursier a toujours son antivol en U à portée de main. Ce qui est très pratique lors de ses arrêts fréquents.
Le casque pour privilégier sa sécurité
Le coursier à vélo côtoie au quotidien les différents usagers de la route (bus, voitures, scooters…). Le casque vélo est donc un bon moyen de se protéger en cas d’accrochage.
De plus, tous les jours, le cyclomessager affronte les contraintes météorologiques. Face au vent, à la pluie ou encore à la neige, son casque est son meilleur allié. Souvent doté d’une visière, il lui protège le visage par tous temps. De quoi assurer ses livraisons tout au long de l’année !
Sources :
Perso j’ai acheté un sac à dos rigide avec une étagère dedans. C’est mieux pour la food.