Savez-vous que l’installation d’une selle de vélo peut relativement être simple ? Découvrez aujourd’hui tout ce qu’il faut savoir à ce sujet !
L’installation d’une assise de vélo est simple comme bonjour. Le système de fixation d’une selle est quasi-universel. Effectivement, celle-ci va se faire au niveau des deux rails qui se trouvent sous le siège. C’est grâce à un système de mâchoires que va alors pouvoir se faire le montage entre la tige et la selle. Toutefois, il faut savoir que plusieurs configurations sont possibles…
Si la selle possède un chariot intégré
Cette première configuration concerne les selles de vélo avec un chariot déjà intégré en dessous. Dans ce cas, le siège s’installe directement sur la tige qu’on qualifie alors de « brute ». En effet, il s’agira d’une tige sans mâchoire. Avant l’installation, pour éviter les problèmes de compatibilité, il convient seulement de bien vérifier le diamètre du trou de fixation du chariot.
La selle de vélo avec rails
Lorsque vous disposez d’une selle à deux rails, l’installation est encore plus simple. Il suffit de vous équiper d’une tige déjà munie d’un chariot. C’est alors ce chariot qui va venir serrer les rails pour bien la maintenir en place… Et voilà !
En cas de tige de selle sans chariot
Ici, sont toujours concernées les selles livrées avec leurs deux rails. Cependant, comme pour le premier cas, il est alors également possible de monter l’assise sur une tige sans mâchoire. Pour l’installation, il suffit alors de se munir d’un chariot de fixation indépendant. C’est ce dernier qui va être la liaison : il va serrer les rails d’une part et permettre de placer la selle sur sa tige.
Faire le bon choix
Vous pouvez donc voir que monter une selle de vélo est aisé. Le choix de la tige peut aussi avoir une grande influence sur la résistance du tube de cadre. De ce fait, il est fortement recommandé de toujours opter pour une assise adaptée mais aussi pour une tige solide afin de vous permettre un bon positionnement.
Pour ce qui est des mâchoires, celles-ci doivent, de préférence, avoir la même forme que la surface externe du cadre, un brin arrondies. Cela permet d’avoir un bon emboîtement et surtout une plus grande surface de contact. Notez qu’il doit toujours y avoir une parfaite symétrie entre les mâchoires et qu’il ne doit y avoir aucun dommage ou déformation au tube de cadre.
Par ailleurs, dans la plupart des cas, lorsque le siège est monté, il est aussi possible de faire glisser le chariot sur les rails. Cela permet de trouver les réglages les plus adaptés à son confort. Il n’est ainsi pas rare que l’on retrouve des graduations sur les rails. Cela est toujours utile pour régler sa selle de manière précise.
Pour plus de conseils, vous pouvez consulter notre fiche conseils sur comment bien choisir et monter sa selle vélo.
pour les tige de selle sans chariot, ça se nomme une chandelle
vous auriez pu rappeler de graisser la partie de la tds qui rentre dans le cadre
Personnellement, je préfère de très loin les chariots à mâchoires verticales, par rapport aux chariots à mâchoires latérales qui sont bien plus délicats à monter et à régler correctement.
Les selles à chariot intégré sont à mon avis à éviter, parce qu’elles n’ont parfois pas du tout de rails et ne sont alors utilisables qu’avec leur chariot spécifique, donc inutilisables sur les tiges de selles à chariot intégré. Ou, pour le dire autrement, le standard, ce sont les rails de selles, et celles qui utilisent autre chose sont à éviter.