Frédéric Denhez, le spécialiste des questions environnementales et aussi l’auteur du livre La Dictature du carbone vient de publier son tout dernier ouvrage intitulé La Fin du Tout voiture. Paru le 11 septembre dernier et édité par Actes Sud, le livre expose les visions et les vœux d’un écologiste pour les voitures de demain.
Un livre pour les passionnés de l’environnement
De nos jours, l’environnement n’est plus le premier souci de tout le monde, mais de quelques uns ! Pourtant, toute notre vie tourne autour de ce sujet étant donné qu’on en fait partie. Dans le dernier livre qui a récemment fait sa parution le mois dernier, Frédéric Denhez nous fait part de ses idées et de ses ambitions face au phénomène environnemental qu’on vit actuellement.
Le problème de l’environnement qui intrigue tout le monde est la pollution. En effet, cette dernière pourrait entraîner la perte de la planète et même sa disparition dans quelques années si on ne trouve pas de solution capable de l’éliminer, ou ne serait ce que la diminuer afin de pouvoir vivre plus longtemps.
Dans son livre, Frédéric parle de ses visions et ses souhaits vis-à-vis de la voiture de demain et étale aussi les divers moyens de transports qui pourraient la remplacer : bien entendu on peut penser au vélo. Il a fait une étude sur les réalités actuelles en proposant des pistes pour pouvoir sortir du « tout voiture ». En d’autres termes, il cherche des moyens pour sortir de la dépendance face aux quatre roues motorisées et fonctionnant grâce aux énergies fossiles.
Pour finir découvrez un extrait de ce livre que l’on vous conseille :
En Europe, le marché de l’automobile, vache à lait historique des économies occidentales, pilier du système capitaliste, mythe ouvrier, s’effondre. Entre 2000 et 2013, les immatriculations ont chuté de 10 à 30 % dans les pays… riches. Précision importante, car dans le monde elles ont augmenté de près de la moitié durant ces treize dernières années. En 2011, il s’est vendu 75 millions de véhicules neufs, principalement en Amérique du sud et en Chine, premier marché mondial depuis 2008.
Nos marchés européens sont archi-saturés. Gavés, ils ne se renouvellent que très lentement. A la faveur des primes à la casse, les ventes remontent, mais c’est pour mieux s’effondrer après. Ces primes ne sont que de la morphine que l’on s’efforce d’injecter à un grand malade.
L’effondrement en cours n’a toutefois pas que des raisons économiques…
Sources :
- Acte Sud