Être cycliste en ville au quotidien, ce n’est pas facile tous les jours. Voitures, piétons et autres scooters peuvent avoir des comportements déroutants. Top 15 problèmes rencontrés par les cyclistes en ville régulièrement. Des situations aberrantes rencontrées par les cyclistes urbains !

15 – Des parkings à vélo occupés par d’autres deux roues

Bien que les parkings vélos restent encore peu nombreux dans certaines villes françaises, d’autres métropoles investissent de plus en plus dans la mise en place d’emplacements de stationnement. Toutefois, ils sont rarement sécurisés et, particulièrement à Paris, sont souvent occupés par scooters ou motos.

Un parking vélo rempli de deux-roues motorisées

© sebmafate – Twitter

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14 – Les obstacles et les objets sur la piste cyclable

Plaques d’égout mouillées, grilles d’évacuation d’eau, marquages au sol, gravillons, cailloux, nids de poules, neige, verglas, feuilles, tâches d’huile, rails de tramway, trottoirs, etc. Les pistes cyclables regorgent d’obstacles, certaines sont abîmées, et les surfaces peuvent souvent être glissantes ou instables. Au quotidien, il arrive aussi que les cyclistes soient obligés de slalomer entre les petits déchets jetés au sol. Papiers, emballages, vis ou encore bouts de verre peuvent être dangereux (et abîmer les pneus). Conséquence de quoi, les cyclistes sont parfois amenés à faire des écarts et sortir de leur piste pour se retrouver à côtoyer d’un peu trop près les voitures.

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13 – Des insultes gratuites

Lors d’un trajet en ville, il n’est pas rare qu’un cycliste se fasse crier dessus, voire insulter par un automobiliste. Pourquoi ? C’est une très bonne question à laquelle il est quasi-impossible de répondre.

12 – Y compris pour les femmes

En 2016, une étude menée par un groupe d’universitaires bordelais révélait que 51% des femmes à Bordeaux plaçaient le vélo comme le moyen de transport « qui les exposent le plus au harcèlement ». Les témoignages de femmes qui se sont senties harcelées à vélo se multiplient. Une autre question sans réponse.

11 – Les camions et les bus, un danger pour les cyclistes

Lorsque l’on se déplace à vélo en ville, on est souvent amené à croiser des bus, des fourgons de livraison, et même parfois des poids lourds. Et le moindre accident avec ce type de véhicule, même à faible vitesse peut avoir de graves conséquences. Le risque de mortalité est en effet 4 fois plus grand quand un poids-lourd est impliqué dans un accident avec un vélo. Les dangers peuvent venir de là où on ne les attend pas. Par exemple, le souffle généré par un dépassement peut déséquilibrer le cycliste, les véhicules longs ont besoin d’un espace supérieur à leur largeur pour tourner dans un virage, et bien d’autres. Il faudra aussi être vigilant lors d’un dépassement, les conducteurs ne voient pas ce qu’il se passe dans leur angle mort.

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10 – Des dépassements un peu trop rapide

Certains conducteurs un peu trop pressés n’ont aucun remord à doubler très rapidement les cyclistes qu’ils côtoient. D’autres n’hésitent pas à faire s’arrêter ceux qui se trouvent face à eux dans les rues à sens unique. Et les méthodes utilisées peuvent être parfois un peu limite. S’approcher un peu trop du vélo, activer les essuie-glaces, utiliser excessivement le klaxon, etc. Ce qui nous mène à la situation n°9.

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9 – Les véhicules qui klaxonnent

Très souvent, c’est dans une rue à sens unique qu’une voiture ou un camion klaxonne un conducteur de cycle pour lui faire comprendre qu’il le ralentit. Mais comme pour les insultes, les cyclistes peuvent entendre la douce mélodie du klaxon sans réelle raison.

8 – Des piétons pas inquiets

Ils traversent sans regarder ou déambulent la tête dans leur écran de téléphone. Souvent même, ils ne nous entendent tout simplement pas arriver et ne se soucient pas de la présence d’un éventuel vélo. Ils ne considèrent d’ailleurs pas les cyclistes comme un danger pour eux, contrairement aux véhicules motorisés. Gardez une main sur un frein et une autre sur la sonnette. Mais surtout, faites preuve de bon sens et de courtoisie. Le piéton reste le plus vulnérable dans l’espace public. Et lorsque l’on descend du vélo, nous sommes aussi piétons.

7 – Les ouvertures de portières

Car dooring : gare aux portières de voitures !En ville, les pistes cyclables sont souvent situées sur la droite de la chaussée, le long des places de parking et des files de voitures garées. Et il n’est pas rare qu’un automobiliste descende de son véhicule sans même faire attention à la présence d’une piste cyclable, et sorte sans regarder. Il en faut peu pour goûter à une portière de voiture. C’est ainsi que plusieurs cyclistes malchanceux ont eu le déplaisir d’expérimenter une certaine douleur. Notre conseil : ne collez pas trop les voitures stationnées sur la droite de la route.

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On rappelle tout de même que l’ouverture d’une porte de voiture est légiférée en France :

« Il est interdit à tout occupant d’un véhicule à l’arrêt ou en stationnement d’ouvrir une portière lorsque cette manœuvre constitue un danger pour lui-même ou les autres usagers. Le fait de contrevenir aux dispositions du présent article est puni de l’amende prévue pour les contraventions de la première classe. »
Article R417-7 du Code de la Route

6 – Les refus de priorité

Voiture, bus, camion ou scooters peuvent vous couper la route en ignorant totalement la piste cyclable.

5 – Les véhicules qui tournent sans clignotant

Les véhicules qui tournent soudainement sans aucune signalisation, c’est bien courant en ville. Mais au delà du fait que cela est dérangeant pour ceux qui suivent, c’est aussi très dangereux et tout particulièrement pour les cyclistes qui sont sur leur lancée.

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4 – Les aménagements dangereux

Un sas vélo pas très bien aménagé

© rat_orleans – Twitter

Encore aujourd’hui malheureusement, faire du vélo en ville peut parfois ressembler à une expédition dans la jungle. Pas de continuité des pistes cyclables qui finissent brutalement au milieu de nulle part, faible visibilité à certaines intersections et même, des SAS vélos aménagés après un feu…

3 – Les scooters qui utilisent la piste cyclable

Par définition, la piste cyclable est faite pour les cycles. En théorie, beaucoup de scooters, voire quelques motos, l’utilisent régulièrement. La cohabitation se passe plus ou moins bien. Certains deux-roues motorisés s’autorisent à klaxonner les vélos qui n’avanceraient pas à la vitesse voulue. La loi indique pourtant clairement que les scooters n’ont pas le droit de rouler sur une piste cyclable, même s’il est possible de déroger à cette règle par une autorisation administrative.

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2 – Le non-respect des aménagements cyclables

C’est un fait, sur de nombreuses routes où la bande cyclable est à droite de la chaussée sans séparation, certains automobilistes prennent parfois quelques liberté. Entre ceux qui s’arrêtent sur le sas vélo et ceux qui se déportent sur les bandes cyclables sans regarder…

Une voiture arrive à contresens sur la voie cyclable

© othocore – Twitter

1 – Les véhicules garées sur la piste

Ce qui énerve généralement le plus les cyclistes urbains sont les obstructions de leur voie réservée. Livreurs, particuliers ou agents municipaux ont la fâcheuse manie de garer leurs engins au beau milieu d’une piste cyclable. Les cyclistes se retrouvent donc contraints d’emprunter la chaussée. Le Code de la route punit les « stationnements gênants » d’une amende de 135€. Depuis quelques mois, on retrouve aussi également de nombreuses trottinettes en libre service déposées ça et là sur les aménagements cyclables de nos centre-ville.

Un véhucle stationné sur la bande cyclable

@ Griforg – Twitter

Évidemment, au cours d’un trajet, il arrive régulièrement de faire des combos et de mêler plusieurs situations à la fois. Allez, gardez votre calme, les cyclistes vaincront. Continuez à vous exprimer et à nous envoyer vos photos et vos témoignages à media@citycle.com.

[Article publié le 29 août 2015 et remis à jour le 01 juillet 2019]

À propos de l’auteur : Jean-Baptiste Lasserre

16 de commentaires

  1. Baldet-Lambin A. 9 septembre 2021 at 22 h 48 min - Reply

    Merci beaucoup de mentionner 15 obstacles que peut rencontrer le cycliste sur son trajet ! Cela fait du bien à voir et à entendre !

    Autres obstacles pour le cycliste :
    1) les taxis/bus qui font pression pour que vous avanciez plus vite même quand vous roulez à au moins 20 km/heure. 2) l’incivilité en ville à Paris est très choquante dans certains quartiers dont je préfère taire l’arrondissement (piétons qui traversent n’importe où et n’importe quand, non-respect total des pistes, conducteurs qui montent sur le trottoir, SDF qui restent au milieu de la route, etc.). Je le dis alors que je suis née à Paris. Il faut savoir reconnaître ce qui est.
    3) Les piétons qui veulent traverser quand le feu est vert pour nous et persistent à avancer en vous toisant ou en vous regardant d’un air mécontent quand ils ont tort. Je n’hésite pas à interpeller directement le piéton sans klaxonner quand il refuse de respecter la priorité 4) Les cyclistes de vélo électrique qui roulent trop vite dans les pistes cyclables et manient peu le vélo sont très agaçants. S’ils roulent à 40km/heure au moins en agglomération, ils devraient prendre la route et non la piste cyclable où ils font pression sur les autres de manière déplacée. Cela concerne seulement cyclistes de vélo électrique et non la totalité de ceux qui en font usage bien entendu. Idem : je fais un rappel quand je le peux. 5) Les trottinettes électriques qui ne tiennent souvent pas leur trajectoire et empruntent les pistes cyclables sans regarder à gauche, à droite ou derrière elles (aucun contrôle). Ces incivilités voire violences symboliques sont symptomatiques de l’indifférence généralisée qui règne en ville.

    Le harcèlement des cyclistes-femmes est réel. Je le confirme et vous remercie de le mentionner. Il n’est pas nécessaire d’être en mini-jupe sans collant ou de faire un bonnet E pour en souffrir. C’est un problème de société qui est grave. Ce harcèlement vient souvent des conducteurs de voiture ou de moto qui se croient omnipotents dans leur engin motorisé et se permettent de vous appeler, voire de vous suivre (cela m’est arrivé deux fois). J’ai eu aussi un problème récemment avec un cycliste qui m’a importunée pendant sur une partie de mon trajet mais cela reste rare. Je n’ai eu le problème qu’une fois avec un cycliste alors que cela est fréquent avec les conducteurs d’engins motorisés.

    Si chacun respectait les règles du code de la route en ville, conduire serait agréable et apaisant mais cela est loin d’être le cas à Paris, malheureusement ! Il faut rappeler aux autres usagers les règles du code de la route malgré les incivilités journalières et répétitives même s’il faut parfois être sec. Cela est épuisant mais c’est ainsi.

  2. Smail 15 janvier 2021 at 11 h 12 min - Reply

    En France il y a un grand problème d’aménagement urbain qui mélange le tout dans le tout : les piétons, avec les trottinettes, avec les cyclistes, avec les voitures, avec les bus, avec les camions et même des pistes cyclables qui chevauchent les lignes de tramway ….tout est mélangé….
    Sous l’effet de la mode écologique, les municipalités se donnent bonne conscience réglementaire en créant des barrières fictives avec du marquage au sol qui sont interrompus chaque 10 m par des intersections farfelues de toute sorte. On crée des places de stationnement pour les voitures, ou bien on implante des Haies très hautes créant des angles morts juste avant les passages piétons. Tout est fait à la hâte sans aucune étude sérieuse pour la sécurité des piétons, notamment les PMR et les enfants.

    L’Etat, les municipalités encouragent l’utilisation du vélo mais les aménagements ne suivent pas. Hélas ! les piétons et les cyclistes sont constamment à la merci de la moindre inattention, que ce soit celle de soi-même ou celle des autres.
    Mais par manque de transport en commun sûrs, notamment la fréquence des bus sur certains axes résidentiels, beaucoup de gamins n’ont de choix que de prendre leur vélo pour aller à l’école.
    Malheureusement le vélo en ville ça ne se prend pas à la légère, les parents doivent être parfaitement conscients des risques. En milieu urbain dense, le vélo est loin d’être une banale promenade de loisir comme le surmédiatisent les associations Ecolos.

    Les drames de la circulation sont quasi quotidiens en région parisienne, et surtout à Paris.
    avant-hier lundi 11/01/2021, on apprend dans les médias qu’un pauvre adolescent de 16 ans se rendant à son lycée à vélo, a été mortellement percuté de plein fouet par un Poids Lourd ! de 38 tonnes car il se trouvait dans son angle mort (apparemment) ! le garçon n’a pu être réanimé il est décédé sur place. Le drame s’est produit à 08h20 au Vésinet dans le 78. Et comme on est en hiver on peut s’imaginer qu’à 08h20 il fait encore sombre, le soleil n’est pas encore levé, la visibilité est encore douteuse, le temps est souvent froid et humide, ce qui n’est guère favorable aux cyclistes.

    La ville pour les piétons ce n’est pas pour demain…

    ..
    ….

  3. Elise 8 novembre 2020 at 10 h 21 min - Reply

    Est-ce qu’on pourrait parler des cyclistes qui font n’importe quoi ? Plusieurs fois, tandis que je roule à une allure normale sur ma route (pas de bande ni piste cyclable en l’occurence), certains cyclistes déboulent comme des crétins (et encore, je suis gentille) de stop ou cédez-le-passage, nous coupant la route, et ce sont encore eux les moins contents de se faire klaxonner.
    L’exemple typique du cretin cycliste, ce matin même : je suis dans un petit rond-point, bien placée, et un %#&^@€^$& de cycliste qui arrive au niveau de son cédez-le-passage, me regarde, me fait un signe de la main et s’engage trois mètres à peine devant moi, me coupant la route.
    Est-ce qu’il pense qu’un signe de main lui vaut la priorité ????!
    S’ils sont suicidaires, qu’ils aillent se jeter du haut d’un immeuble plutôt que devant mes roues. Sachant qu’en plus,en cas d’accident, ce sera ma faute. Je pense qu’à partir du moment où on roule tous sur la même route,on devrait TOUS respecter son code.
    Heureusement que d’autres se comportent bien. Je sais que mon commentaire n’aura jamais aucun impact, mais j’aimerai qu’il fasse prendre conscience à certains du danger auquel ils s’exposent tous seuls. Un peu de bon sens !

    • Fannie 9 novembre 2020 at 10 h 18 min - Reply

      Bonjour Mme Gomme,
      nous sommes désolée que vous ayez vécu une situation déplaisante avec un cycliste sur votre chemin du matin. Il y a en effet des crétins partout. Mais les cyclistes, comme toutes les autres personnes, sont des gens plutôt respectueux de la loi et soucieux de rester en vie.
      Nous aimerions profiter de votre commentaire pour souligner deux erreurs de perception fréquentes:
      1- Un cycliste qui a une conduite dangereuse, dite « inexcusable » dans le Code de la route, et qui se ferait heurter par un automobiliste, serait en défaut. L’automobiliste ne serait pas responsable. Voyez le détail dans notre article sur la responsabilité des cyclistes sur la route.
      2 – Comme cela a été rapporté dans de nombreuses publications, les cyclistes commettent moins d’infractions routières que les automobilistes. L’infraction routière automobile la plus fréquente est la vitesse excessive. Or, la vitesse tue, comme vous le savez.
      Nous vous remercions de votre intérêt pour nos articles et nous vous souhaitons bonne route… de préférence à vélo la prochaine fois !

  4. Madame Grillot 5 juin 2020 at 10 h 26 min - Reply

    cycliste à Larochelle, difficile,
    j’attire votre attention sur une piste très dangereuse, rue Albert Schweitzer, juste avant le feu , il y a une entrée de parking, pas signalée aux pauvres cyclistes, qui descendent à plutôt vive allure en toute innocence et tranquillité , alors que les pauvres automobilistes qui veulent rentrer sont harcelés par les klaxons des suivants, ne voient pas très bien débouler les cyclistes , (angle mort ) , alors qu’ils se dépechent de passer avec 2 pistes à traverser plus les piétons!!!!!extrêmement dangereux pour les cyclistes!!!

  5. Aude 29 octobre 2019 at 22 h 57 min - Reply

    Autre sujet mais pas totalement… Je ne circule qu’ en vélo, de jour comme de nuit, l été comme l hiver, au quotidien. Je suis saisie par le nombre de vélocyclistes qui ne respecte pas le code de la route et se mette en danger à chaque carrefour ! Si j étais en voiture ça m agacerait, c est sur et je ne jurerai pas de ne pas m énerver contre l un d eux de temps en temps…

  6. Christensen Brigitte 29 octobre 2019 at 13 h 44 min - Reply

    Il faut dire également que certains cyclistes se croient les rois de la route en brûlant les feux , en roulant sans lumière, avec les écouteurs et en sens interdit… Je me suis souvent fait insultée, crachée même dessus par ces nouveaux pseudo-usagers qui ne pensent qu’à leur pomme..
    Sans parler des parents branchés écologie/bobos qui utilisent les vélos avec des remorques ou des  » boîtes  » à l’avant pour emmener leurs gamins à l’école, sans casque , tout en parlant dans leur téléphone…
    Pfff….Ras le bol…mais je continue à faire tout en vélo ayant fait le choix de ne plus avoir de voiture..

  7. Claude Péguet 7 juillet 2019 at 17 h 10 min - Reply

    Citation:
    « Sachant que :
    – La bande cyclable fait 1 mètre de large.
    – Je roule au milieu de la bande cyclable.
    – Mon guidon fait 60 centimètres de large.
    – Le chauffard empiète de 10 centimètres dans la bande cyclable.

    Combien de centimètres me séparent de l’hôpital ou de la morgue ? »

    Je pense que la présence d’une bande cyclable ne dispense pas l’automobiliste de laisser 1 m de distance avec le cycliste. Et qu’à priori ce mètre devrait logiquement être respecté entre le rétroviseur droit de l’automobile et le coude gauche du cycliste.
    Pouvez-vous me le confirmer?

    Ce qui signifie que l’automobiliste n’est pas « propriétaire » de sa voie comme il pourrait être tenté de le croire…

    En fait, à l’usage, je constate que la grande majorité des automobilistes de la région lyonnaise se comportent très correctement vis à vis de ces situations de dépassement mais les autres peuvent nous mettre en danger plusieurs fois par heure malheureusement.

    • Fannie 2 octobre 2019 at 12 h 52 min - Reply

      Vous avez raison : « la présence d’une bande cyclable ne dispense pas l’automobiliste de laisser 1 m de distance avec le cycliste » selon l’article R414-4 du Code de la route.

  8. Romain 3 juillet 2019 at 17 h 03 min - Reply

    Perso j’ai décidé de déménager aux Pays-Bas, et ne serait-ce que pour cette raison je ne pense pas revenir de sitôt

  9. Benoît 2 juillet 2019 at 17 h 29 min - Reply

    Allons voir dans le Limbourg belge ou aux Pays-Bas…
    C’est tout différent… Quel respect… Quelles belles routes… Oui, il reste quand même quelques cretins, mais c’est nettement plus agréable d’y rouler à vélo…
    Comme quoi, c’est possible… Aménager des routes pour cyclistes et changer les mentalités…
    Allez, continuons à rêver…

  10. FABRICE 24 mars 2018 at 14 h 28 min - Reply

    Sans parler des imbéciles de passagers de voiture qui crient « wouhouuuu » en vous doublant…. pathétique

  11. LeCyclo.com 31 août 2015 at 14 h 46 min - Reply

    Les premiers retours de cyclistes sur Twitter avec #DurDurAVelo https://twitter.com/Nathash_tag/status/637674890900992000

  12. Ecolocomotion 30 août 2015 at 17 h 50 min - Reply

    Mais pourquoi cacher la plaque d’immatriculation ? La honte doit s’abattre sur ces cons… si on peut les reconnaître !

  13. Jean-Christophe Lasvergnas 29 août 2015 at 15 h 42 min - Reply

    Toutes ces situations sont bien réelles. Une insulte rigolote à laquelle j’ai eu droit : « Paris est vraiment devenu le royaume de la pédale ! » (à cette époque Delanoë était maire de Paris…).

  14. Gilles Clemenceau 29 août 2015 at 12 h 17 min - Reply

    Puis-je suggérer de personnaliser, car ce n’est pas tellement le véhicule qui klaxonne, ouvre la porte, est pressé..mais bien un automobiliste, qui parfois maltraite non pas un vélo mais un cycliste, piéton etc.
    Ce n’est pas du coupage de cheveux en 4 mais une manière de bien rappeler qui agit : l’humain responsable et non la machine inerte.
    Incidemment on pourrait aussi ainsi arriver à éviter les classements du genre « les vélos (sous entendus) font ceci, les autos (idem) font ça »

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